Festival d’hiver, portraits de conteurs : Vassili Ollivro

Il ouvre la bouche pour parler, il raconte déjà, c’est plus fort que lui. La météo en deviendrait presque une saga d’aventures, avec un type comme ça.
Dans la vie, une énergie électrique, crépitante, toujours en éveil. Sur scène, une présence posée, une voix calme et grave, qui vous réinstalle les pieds bien droits dans les godasses, une sensibilité à fleur de peau, des histoires nourries d’humains.
Mais gare ! On peut aussi sortir de là essoufflé, larmes aux yeux, les côtes et les joues douloureuses !

www.vassili-ollivro.fr

Vassili Ollivro

Rue de la gare

Le tacot, le tortillard, le brûle talus, autant de noms qui ont été donnés aux petits trains qui sillonnaient le pays pendant la première moitié du XXe siècle.
Ferdinand est fasciné par ce train qui passe devant chez lui. Le jour de ses six ans il demande à son père de tout lui expliquer sur le train, mais pour toute réponse, celui-ci marmonne qu’il comprendra quand il sera plus grand. Dès lors, Ferdinand cherchera par lui-même (et avec l’aide de quelques amis) les réponses à ses questions.
Il y a aussi le père Mahé, qui est décidément contre le train, Jeanne et son mari, le chef de train, de la fausse monnaie, des escarbilles, des déraillements (mais pas beaucoup), des pommes, des pierres et tout ce qui fait le quotidien des habitants de la Rue de la Gare…

Spectacle tout public à partir de huit ans.
Durée : une heure environ.

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